Luc-Olivier d’Algange, « Raymond Abellio : le roman du huitième jour »
« Je n’étais qu’une ombre parmi les ombres, mais je sentais bouger en moi ce monde ultime où la pensée devient acte et purifie le monde, sans geste ni parole, toute seule, par la seule vertu de sa rigueur, de sa claire magie »
– Raymond Abellio –